le dilemme entre ouvrir les bras et retenir trop près de soi.
Voir son amour grandir et devenir un autre, espérer le meilleur, rêver grand et en couleurs.
Dans ma tête, en rafale je revois son sourire rassuré d'être là, son regard enjoué planifiant les plaisirs et les aventures à venir, sa main parcourant les livres qui lui tiendront compagnie,
ses caresses avant de partir...
Je peux mettre le compteur,
le 20 juillet je retourne au lac pour le prendre dans mes bras et entendre ses histoires de campeur.
2 commentaires:
Je savais que tu allais être meilleure ;)
parce que chaque fête de nos enfants, les pousses un peu plus loin de nous, mais encore si pres de notre coeur.
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