31 décembre 2006

pleurer devant le grand écran



Une fois les larmes séchées, épongées,
il reste le bonheur pur et doux d'avoir encore en soi des rêves aussi grands que la vie.

3 commentaires:

Le chercheur fou a dit...

C'est un billet magnifique! Tu sais dire tant de chose, de façon si juste, en si peu de mot.

Lyne-la-lune a dit...

Faut savoir s'y accrocher si fort pour ne pas qu'ils filent entre nos doigts...

Jacynthe a dit...

l'inconnue était celle qu'il aimait... j'avais bien aimé ce film.... ouf !