Un pas devant l'autre pour garder l'équilibre,
cette douleur intense qui ne s'envole jamais résonne la nuit,
le silence laisse place à tous les bruits
et dans ma tête il y a des échos.
Le travail me suit jusqu'ici dans mon oassis en couleurs,
dans mon cocon chaud garni de sourires et de souffles d'amour.
Ce matin, c'est samedi.
Un pas devant l'autre jusqu'à la machine à café,
un pas devant l'autre avec l'amoureux à mes côtés.
Un pas devant l'autre pour ne pas tomber.
1 commentaire:
M... je te retrouve ici, avec un nouveau titre, une nouvelle vie. Que de bonheur de te lire enfin heureuse, malgré ton dos qui fait le boulet. Wow, le temps passe...
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