25 août 2007

du papier au clavier



C'est au café de Max et devant mon Ppa que tombent les larmes que je ne voulais pas, les larmes qui ne venaient plus. C'est peut-être la fatigue ou simplement l'opportunité de vraiment parler de ce qui ne s'écrit pas.

Mais ce sont aussi des souvenirs en musique qui me bercent dans une ambiance feutrée, dans le noir de cette humide soirée et des images que je cherche à récupérer, comme des provisions pour le temps froid qui s'en vient...

Le temps froid qui me ramène à cet hiver qui a fondu.

1 commentaire:

Nada sur le net! a dit...

pourquoi ais-je vu ces larmes avant qu'elles ne tombent? Ta poésie les pleures depuis longtemps... mais des vraies, ça fait vraiment du bien...