De ta voix la plus délicieuse, une invitation au soleil....à marcher dehors, main dans la main comme si c'était vrai.
Dans les rues près de toi, je marchais enfin.
Assise sur la terrasse, il ne faisait plus froid.
Ton regard ambré par les éclats de soleil, un regard mystérieux et attendrissant,
ton visage tourné vers moi pour attraper un baiser ou un sourire,
et ta bouche pleine de sourires avant de la déposer sur la mienne,
tout toi pour un lunch avec moi.
Dans une bulle parfaite de banlieue où les gens se demandent pourquoi l'herbe est plus verte chez le voisin, où les dames se demandent comment sortir leur quatre quatre de cet espace qui leur semble trop petit, et où ma vie imparfaite me ressemble...dans cette bulle, il y avait un nous qui lunchait.
Puis il te fallait retourner..travailler.
Le temps glisse et le soleil me réchauffe.
Je ne travaille pas, mes yeux sont trop pleins.
J'ai peur...de tout, de rien.
et puis je me demande pourquoi je n'ai pas faim.
2 commentaires:
Serais-tu à te nourrir d'amour et d'eau fraîche?
Les départs sont des sources constantes de douleurs.
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