05 janvier 2010

frisson



Une nouvelle en noir et blanc, un écho laissant un terrifiant silence, la mort surprenante d'une autre.

Dans le noir de la nuit, je me retourne et me demande comment la vie peut fuir si rapidement, comment la vie peut-elle finir sans un dernier rappel?

Ce mal du siècle laisse un frisson glacé sur mon échine et ma nuit se remplit de peurs que je croyais apprivoisées...

1 commentaire:

Unknown a dit...

J'ai eu beaucoup de peine de voir quelqu'un de si intense, de si vivante partir aussi brutalement.
Mes pensées sont tout de suite allé vers toi.
Je n'ai pas osé aller te voir pour te dier à quel point j'étais contente que tu sois encore là...
Vivante, battante, victorieuse...
...