28 mai 2008

le réveil

Il fait encore noir quand le cadran se met en marche et toi qui doit partir déja alors que sous la couette tout est si doux et chaud.
Je sens l'air trop frais de cette fin mai que j'espère plus chaude...au moins pour le potager. Et mes doigts s'arrêtent sur ta peau avant de me rendormir avec toi sous les doigts.

Je peux alors rêver notre réalité.

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