09 avril 2007
Quand...
Quand tout s'en va ne laissant que le silence léger de nos peurs et de nos doutes, quand tout s'éloigne et me laisse là dans le sommeil lourd et artificiel qui m'embrume...quand tout autour de moi me donne envie de vivre et d'avancer, de respirer et de voir le soleil sur ma peau, sur la sienne...
Quand la vue d'un papillon me rappelle qu'il y avait avant et que je choisis le maintenant, l'instant présent d'être ce que je crois être moi.
Des ailes derrière moi pour me permettre de m'envoler, de voir tout ce qui importe avec le recul dont j'ai besoin pour comprendre que je suis là maintenant parce que j'ai choisi.
Quand les rires avec Carole résonnent encore ce matin, que l'amitié n'a pas glissé sur le trottoir, quand les brunch avec nate s'étirent en longues conversations pleines de péripéties, quand les soupers avec Iva recèlent de rêve de devenir...quand les appels de ma soeur s'ouvrent comme des cadeaux longtemps souhaités, quand le résumés des parties de hockey de mon gars semble encore plus excitant que la partie elle même, quand la complicité avec mon Ppa est sans cesse grandissante, quand tout ça me réveille : le bonheur d'être là tourbillonne et puis ça fait du bien.
Quand les jours qui me séparent de lui continuent de naître et qu'encore le désir de sentir sa peau et son odeur contre moi s'invente, quand le soleil dans la fenêtre réchauffe même à l'intérieur de moi et que les nuits si longues me permettent d'illuminer mes ailes...
Quand tout ça est maintenant alors j'en profite doucement.
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1 commentaire:
Et sur ce sentiment d'être simplement toi naîtra, à sons feutrés comme bruissement d'ailes, un bonheur à l'aube de son plein épanouissement.
Folle et douce Marie, ne résiste pas. Laisse toi porter sur ces ondes empreintes de milles découvertes, de furtifs emballements. Il est des temps pour être heurex. De cela, il ne faut point douter.
Bisous
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